11 Mar Congrès du SMA à Lyon les 7 et 8 avril prochains : un grand moment de mobilisation

Le Congrès se tiendra les 7 et 8 avril prochains à Lyon, au Ninkasi Kao de 10h le lundi à 17h le mardi.

Il sera très largement ouvert aux acteurs extérieurs et devra aboutir à des évolutions statutaires permettant d’intégrer les acteurs des musiques actuelles qui oeuvrent dans le champ de l’économie sociale et solidaire. Merci donc de noter ces dates de cette événement qui devrait mobiliser bien au-delà de la sphère des adhérents.

Merci donc de faire passer l’information et de venir nombreux en n’oubliant pas de signaler votre venue à l’adresse suivante :  coordination@sma-syndicat.org

Au-delà du rendez-vous permettant de faire le point sur la construction du SMA, il s’agit cette année d’un moment d’importance pour les petites entreprises non lucratives des musiques actuelles !

En effet, si de nombreux chantiers ont été investis depuis la création du SMA en avril 2005, il est aujourd’hui primordial d’accélérer la constitution d’un front solidaire et organisé de ces entreprises dans le champ professionnel et politique.

C’est pourquoi, outre ses adhérents, le SMA souhaite inviter à son prochain Congrès National les 7 et 8 avril prochains à Lyon toutes les petites et moyennes structures des Musiques Actuelles, dont les caractéristiques d’entreprise et les valeurs correspondent à celles défendues par le SMA.

Si les évolutions en matière de financement de la culture, de redistribution sectorielle, de structuration professionnelle, et de concentration économique, touchent les structures les plus établies et auront des conséquences bien plus grave, de l’ordre de la survie, pour les petites et moyennes structures non lucratives, il va sans dire qu’il n’y a pas de fatalité et qu’une résistance active est possible.

Pour que cette résistance soit efficace, il faut l’entendre à l’échelle d’une filière en y associant non seulement les petites entreprises du spectacle vivant, qu’elles soient de diffusion, d’accompagnement, d’enseignement, de tournées, mais aussi les labels discographiques et les médias qui se réclament d’une certaine indépendance et d’un modèle économique social et solidaire.
Il faut permettre à ce que les structures sortent de l’isolement et qu’elles s’organisent collectivement et soient représentées pour influer sur le terrain démocratique et professionnel.

C’est pourquoi le Congrès du SMA doit être un temps de mobilisation, d’information et de construction, large.

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